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Le Comte de Monte-Cristo

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Annecdotes

Un classique

Le Comte de Monte-Cristo a fait l'objet d'une trentaine de transpositions sur petit et grand écran. La plus récente, La Vengeance de Monte Cristo avec Jim Caviezel, date de 2002. Il y a également une mini-série connue.

Adaptation difficile

L'obsession première d'Alexandre De La Patellière et de Matthieu Delaporte a été de conserver toutes les dimensions de cette fresque littéraire, pour faire vivre au spectateur des émotions très différentes. Les réalisateurs confient : "Voilà pourquoi nous avons réalisé un seul film, et non un dyptique : à l’image du page-turner que constitue le roman, il fallait que toute l’histoire se déroule dans un même laps de temps, que la tension amassée dans la première partie du film trouve son dénouement dans la même œuvre. Impossible de dire au spectateur : sortez du château d’If et revenez dans six mois pour connaître la suite !"
Une autre difficulté était de rendre crédible l’idée qu’il est possible de ne pas reconnaître quelqu’un qu’on n’a pas vu depuis vingt ans. C’était envisageable à l’époque de Dumas, où la photographie était balbutiante. C’est beaucoup plus difficile pour notre époque saturée d’images. D’où notre questionnement initial : doit-on prendre le même acteur pour les deux périodes de sa vie ? Et si on prend le même acteur, comment justifier auprès du public contemporain que personne ne le reconnaisse."

Retrouvailles

Alexandre De La Patellière et Matthieu Delaporte retrouvent plusieurs acteurs avec lesquels ils ont déjà travaillé. C'est le cas de Laurent Lafitte qui jouait dans Papa ou maman et sa suite, Patrick Mille qui était au casting de La Jungle, leur premier court métrage, mais aussi Adèle Simphal et Marie Narbonne qui jouaient dans Le Meilleur reste à venir.

Préparation

Sur ses deux mois et demi de tournage, Pierre Niney a passé 150 heures assis sur une chaise pour le maquillage (une séance de transformation physique durait de quatre à six heures). Pour le reste, l'acteur, qui n'avait jamais fait d’équitation pour un film, a suivi une préparation spéciale pour savoir monter. Il se rappelle : "J’ai aussi pris pas mal de cours d’escrime, notamment avec Bastien Bouillon, qui joue Fernand de Morcerf, pour éviter qu’on ne se mette un coup de lame dans l’œil dès la première minute !"