Pour l’artiste allemand Mario Klingemann connu pour son travail impliquant, le code et les
algorithmes :
« L'art est dans la programmation et le système, plutôt que dans l'œuvre elle-même - ce qui
représente un repère historique et conceptuel important dans l'histoire du marché de l'art ».
L’intelligence artificielle (IA) ne serait donc que du codage, de l’informatique, un outil. Qui pourrait
reproduire des œuvres d’art sans pour autant être une œuvre, si elle n’arrive pas à faire ressentir des
émotions au spectateur. Car une œuvre d’art possède toujours un contexte derrière sa création et
parvient à faire ressentir des émotions aux spectateurs qui la contemplent. L’intelligence artificielle
parvient-elle à créer des œuvres qui suscite de l’émotion chez les spectateurs ?
David R. Murson, photographe et professeur d'anglais :
« Il (l’IA) essaie de comprendre un texte et de nous communiquer ce qu'il voit, et il se concentre de
façon étonnante et produit des choses auxquelles on ne s'attend vraiment pas ».